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Resident Evil - Les Policiers de Raccoon - Chapitres 17 à 20
Auteur :
Rodoudou
Genre : Épouvante/Action/Aventure - 23 chapitres - Non finie
Date de parution : ?


Chapitre 17

Ce chapitre est la suite directe du 15ème et nous suivons toujours le héro Fred.


J’ouvre les yeux... je me rappelle...
-”Ca va?”
C’était Kevin.Un peu plus loin, environ 50 centimètres vu la taille du débarras, John dormais.Il avait l’air encore plus mal en point qu’il y avait...
-”Quel heure est-il?” demandais-je à Kevin.
-”Il est... 6H37.Il va falloir continuer par les égouts.Je crève de faim!”
J’étais à présent bien éveillé.
-”John dort toujours, dis-je, il faudrait le réveiller...”
-”Au fait Fred...”
Il chuchotait pour ne pas réveiller John, ou était-ce plutôt parce qu’il ne voulait pas que mon ami nous entende.
-”Oui?”
-”John est vraiment... mal en point.Regarde ca, il bave.Tu ne crois pas qu’il...”
Il ne termina pas sa phrase mais j’avais compris.Oh oui!J’avais compris...
-”Je ne sais pas s’il a contracté ce foutu virus, Kevin.Et je ne veux pas le savoir...”
Sur ces mots, je me dirigeai vers John et lui tapota l’épaule.
-”Eh... John... chuchotais-je, John réveille toi.Il faut que nous continuons.”
Mon ami ouvrit alors les yeux.Ceux-ci étaient... différents.
-”Oh... Fred, Kevin.Je... allons-y!”
Moi et Kevin fûmes surpris de la rapidité avec laquelle John s’était levé! Il nous paraissait faible depuis le moment ou nous étions aux égouts mais il semblait avoir repris des forces.
-”Bon ok! fis-je.Euh... nous avions 14 balles c’est ca?Partageons-les.”
-”Ca nous fait 4 balles chacun et il en restera une.” dit Kevin.
Une balle... une balle 9mm parabellum... pas de quoi détruire grand chose... et pourtant, dans la situation dans laquelle nous nous trouvions, elle parraissait avoir une grande valeur et tous les regards étaient fixés sur la balle, celle-ci se trouvant sur ma paume...
-”Bon! dis-je décidé.Kevin, tu es le meilleur de nous trois au tir.Prend-la, aussi ridicule que cela puisse paraître, elle poura peut être nous sauver.Qui sait?”
David prit la balle et la mit avec les quatre autres dans son chargeur.
-”Kevin, tu es au milieu.J’ouvre la marche.John, tu couvre nos arrières.”
Ma main était maintenant sur la poignée de la porte.
-”Vous êtes prêt?” demandais-je.
-”Oui! dis John.Mais j’aurais aimé vivre plus longtemps.”
Il avait dit ca d’un ton indéscriptible.Ce n’était pas de la peur, ni de la panique, ni de l’humour... il était simplement très calme.Très calme.
-”John! fis-je.Nous n’allons pas mourir!Nous allons vivre!”
Et j’ouvris la porte! A droite, les escaliers et l’eau par lesquels nous étions arrivés aux égouts.En face, un mur.A gauche, le couloir continuait jusqu’à une porte.Juste à droite de cette dernière se trouvait un passage fermé par un rideau métalique.Au dessus de ce dernier se trouvait un passage pas plus grand qu’une bouche d’aération.
-”Ok! On prend la porte!”
Derrière, il fallait traverser une petite passerelle qui menait à une autre porte.Mais une porte différente des autres...
-”Qu’est ce que c’est que cette merde!?” cria Kevin.
A la droite de la porte se trouvait un petit paneau de contrôle comportant quatre emplacements.Il fallait surement des clefs pour passer!
-”Mais merde! continuait Kevin.On a pas le temps de chercher ces putains de clefs! Et pas non plus les munitions pour défoncer cette putain de porte!”
-”C’est bon calme toi, dis-je, on va trouver une solu...”
La porte s’ouvrit soudainement en émettant un “pshiii” ! Elle s’était ouverte toute seule!
-”Et ba putain! dit John.Bravo Fred! Je savais pas que t’avais de tels pouvoirs!”
Il franchit la porte.Moi et Kevin aussi.Cette porte s’était ouverte toute seul...
Après avoir progressés un peu , nous arrivâmes bientôt dans les égouts même.Ou plutôt à l’endroit qu’on s’imagine et qu’on se figure en parlant d’égouts.En fait, nous étions sur un petit rebord après être sorti d’une salle et notre seule moyen était de continuer dans une eau qui nous arrivait jusqu’aux cuisses!
-”Bon ba j’y vais! fit John.”
Et il déscendit dans l’eau.
-”Allez les gars! Les égouts de Raccoon City! C’est pas tout les jours qu’on s’y baigne!”
C’était de l’humour mais il était tout de même étrange.Kevin et moi déscendâmes alors.
-”Ou va on?” demanda Kevin.
A notre gauche se trouvait des grilles.Un peu avant, une échelle qui menait à un passage bloqué par une énorme hélice qui était enclenchée.
-”Et bien... continuons à droite.” dis-je.
Alors que nous avions fait quelques mètres vers la droite, une voix retentit derrière nous!
-”Personne ne bouge!”
C’était la voix du capitaine Irons!
-”Je vous préviens! Le moindre geste de votre part et je vous tue! Mon flingue est braqué sur la tête de John!”
Un silence se fit, personne ne bougeait! Puis:
-”Ok capitaine, fit Kevin sans bouger autre chose que sa bouche, que voulez vous!?”
-”Les mains en l’air! Tout le monde!”
Nous commencâmes à lever les mains.
-”Doucement! Doucement...”
Nos six brats étaient levés.Nos trois bérettas aussi.Et le capitaine était toujours derrière nous.
-”Ok... ok... vous allez maintenant jeter vos armes... et devant vous! Et je vous préviens que le premier qui fait un geste suspec je le tue! Allez-y, jetez vos armes!”
Nous ne pouvions rien faire.Tout le monde obéit alors et nos bérettas disparurent bientôt dans l’eau.
-”Bien! fit le capitaine d’un ton satisfait.Retournez vous doucement maintenant.Baissez les brats mais laissez-les loin de vos poches!”
Nous faisions à présent face au commissaire qui était sur le rebord! Ce fut Kevin qui commenca:
-”Alors Irons? Qu’est ce qui t’arrive vieux?”
-”Ferme ta geule stupide et ridicule petit policier! Je suis toujours ton capitaine!”
-”Un capitaine qui nous a abandonné!” intervins-je.
-”Qu’est ce qui se passe commissaire? continua Kevin.Qui êtes vous exactement? Pourquoi nous avez vous abandonné dans le commissariat?!”
-”AH!AH!AH! Je vais vous expliquer... Voila, je collabore avec Umbrella.”
-”Quoi?!” hurla on en même temps, moi et Kevin.
-”Oui! Pour Umbrella... ce sont bien les responsables de ce désastre... Mon rôle était d’empécher les membres survivants du S.T.A.R.S à trouver leur centre souterrain.”
-”Comment ca? demandais-je.Quel centre souterrain?”
-”Un centre de recherche d’Umbrella est situé sous les égouts de Raccoon City.”
-”Ce n’est pas possible!” dit Kevin.
-”Incensé!” dis-je.
John paraissait complétement abruti et ne disait toujours rien.
-”Et si, continua Irons, c’est vrai.Il a fallu bien sur énormément d’organisation pour Umbrella mais, voyez vous, c’est grace à des hommes comme moi que ces salauds ont réussis.”
-”Pourquoi les insultez vous? demandais-je.Ce ne sont pas vos “amis”?!”
-”Non. répondit le capitaine.Je leur est rendu des services pour l’argent et parce que... je n’avais pas beaucoup le choix non plus.Mais ils sont allés trop loin! Ils ont contaminés la ville avec leur putain de virus-T!”
-”Vous êtes bien renseignez...”
A présent, Irons paraissait fou et haussa le ton:
-”Oui! Oui je suis renseigné! Et ce n’est même pas fini! Un nouveau virus nommé virus-G est présent!C’est ce salaud de William Birkin qui l’a développé! Tout comme le T dailleur!”
-”Mais pourquoi êtes vous contre nous alors?” demanda Kevin.
-”Je suis contre tout le monde! Personne ne sortira vivant de mon commissariat! C’est moi qui vous ai ouvert la putain de porte à distance!C’est moi qui ai fait en sorte de disperser mes hommes! C’est moi qui ai tué Ron, sa femme et ses gosses! C’est moi qui ai fait en sorte que le Pentagone ne nous contacte pas! Et oui! C’est moi et moi seul et je vous tuerai tous! Vous viendrez rejoindre mon maleur!”
-”Vous êtes complétement fou!”
-”Espèce de salaud!”
-”AH!AH!AH! C’est moi qui mène la danse! Je vais vous faire exploser la cervelle!”
John, qui n’avait pas parlé depuis l’intervention du capitaine, semblait mal comme il y avait quelques heures et dit subitement:
-”Les gars! Il y a un truc que je vous ai pas dit!”
-”Ferme ta gueule!” cria Irons.
-”Quand j’ai ouvert la plaque du chenil et que le zombie est apparu...”
-”Ferme ta gueule connar!”
-”...il était tellement prêt de mon visage qu’il a du me filer le virus!”
-”Ta gueule John! hurlait le capitaine.Ferme ta putain de gueule et arrête de dire n’importe quoi!”
-”C’est donc ca! fis-je.John...tu...”
-”Putain de merde...” gromela Kevin.
-”Fermez vos gueule ! ! !” hurlait le capitaine qui était en rage qu’on ne face plus attention à lui.Qu’est ce que t’as John?! Tu veux que je te déscende!?”
-”A dieu Fred.A dieu Kevin.” dit John dans un murmure à peine audible.
Et soudainement, il se mit à courir (avec difficultée à cause de l’eau) vers le rebord ou se trouvait Brian Irons!
-”Eh! cria ce dernier.Arrête toi!”
PAN!!!!!!!!!!!! John s’écroula dans l’eau.PAN!!!!!!!!!! Kevin s’écroula à son tour en lachant le béretta qu’il venait de reprendre à l’eau en profitant de la diversion provoquée par John.
-”Ne bouges plus Fred! Ne bouges surtout pas ou tu vas mourir comme tes deux amis!”
Mais il avait tort! Mes deux amis n’étaient pas mort! John se releva et continua d’avancer vers le capitaine! PAN!!!!!!!!!!!!PAN!!!!!!!!!!!!!!!
-”Merde ! ! ! C’est un zombie!” cria Irons.
-”Fuy........................ez......................” parvint à prononcer John toujours en se raprochant d’Irons.
Et alors que je me retournai pour fuir, Kevin me faisait face.Il se tenait le bras gauche et tenait deux bérettas.
-”Pas terrible pour un capitaine, dit-il, il ne ma touché qu’au brat.Je n’ai pas le dernier béretta.”
Je pris mon arme et dit:
-”Cassons nous! Nous ne pouvons rien faire pour John!”
Nous continuâmes alors vers la droite!PAN!!!!!!!!!!!!PAN!!!!!!!!!!!!!!! Le capitaine continuait de tirer sur mon ami! Nous entendîmes alors une porte claquée! Irons s’était enfuit...
Moi et Kevin nous arrêtâmes alors et regardâmes John qui était sur le rebord.Une larme coula le longt de ma joue et alla se perdre dans l’eau sale.Kevin, légèrement derrière moi, me posa la main sur l’épaule.
-”Viens... partons...”
-”Il ne faut pas...?”
-”Quoi?”
-”L’achever?”
-”Non, fit Kevin.Crois-tu que John aurait aimé nous voir gaspiller nos dernières munitions pour lui?”
-”Non...non, je ne crois pas...”
Alors que nous nous apprétions pour continuer dans le sens décidé précédemment, je dis:
-”Une seconde, si nous continuons par la et si le capitaine dit vrai, nous allons arriver dans le centre souterrain d’Umbrella non?”
-”Tu as raison...”
Mon regard se posa alors sur les grilles que nous n’avions pas eu envie de passer précédemment.
-”Allons par là! Nous sommes sur de remonter en ville si nous escaladons cette grille!”
-”D’accord!”
Quelques secondes plus tard et après avoir évité John qui ne nous recconnaissait vraiment plus et cherchait comme nos autres ennemis à nous manger, nous faisions face à la grille.
-”Ok! On l’escalade!”
Ce ne fut pas très difficile et nous étions maintenant de l’autre côté.L’écartement entre les deux murs étaient maintenant réduis et ne dépassaient pas les deux mètres.Nous suivâmes le chemin sombre et sale et arrivâmes, au bout d’un moment, à une échelle.
-”Enfin...” fit Kevin.
-”Oui... elle mène à la ville... la ville...Raccoon City...”
Après un bref regard vers Kevin, je posai mes mains sur le métal froid et humide de l’échelle...


Chapitre 18

Ce chapitre est la suite directe du 16ème.


Alors qu’il fillait toujours en voiture rejoindre Ada, Albert Wesker était surpris de la rapidité avec laquelle ses blessures avaient cicatrisées! Mais ce n’était même pas des cicatrices, son corps ne portait plus de marques! Il avait quand même souffert et le combat contre Némésis aurait pu... le tuer?Il ne savait pas s’il pouvait mourir... mais, si oui, il n’avait pas franchit la mort de loin!Némésis était puissant et il espérait qu’il tuerait les membres du S.T.A.R.S rapidement.Après tout, il était la pour ca!
Alors qu’il arrivait près du tunnel, il remarqua Ada qui lui faisait signe.Il se mit à sa hauteur puis elle monta dans le véhicule.
-”Ca a été?” demanda-elle après que Wesker est redémarré.
-”Je me suis fais attaquer par Némésis...”
-”Et?”
-”Les autres membres du S.T.A.R.S n’ont aucunes chance...”
-”Ah!Ah!Ah!Tu t’es donc fait ridiculiser par ce monstre?” fit Ada qui gardait, malgré la situation, sa moquerie.
-”... tais-toi!Ils m’ont ordonnés de te protéger mais je pourrai malgré tout t’éliminer et faire croire à un accident!”
-”...ok.”
Ils arrivèrent bientôt sur la grande route menant hors de la ville.Ils leur restaient quelques kilomètres avant d’arriver à la frontière.Soudainement, Wesker arrêta la voiture.
-”Merde!” fit-il.
-”Quoi?Qu’est ce qu’il y a?” demanda Ada.
-”Les militaires ont mis la ville en quarantaine!Je m’en doutais de toute facon...”
-”Tu arrives à les voir d’ici?Incroyable!”
-”Comment allons nous faire pour sortir...” se dit Wesker.
-”Vraiment incroyable!Moi je ne voix rien!Mais j’y pense, tu peux les exterminer avec ta force non?”
-”Je peux facilement lutter contre une dizaine d’individu armés mais, dépacé ce nombre, mes chance sont bien moindres...”
-”Ah?Et combien sont-ils?”
-”J’en voix une cinquantaine... mais on va allé voir plus prêts...”
-”Ils ne vont pas nous tirer dessus?”
-”Pas si nous roulons à une vitesse normale...”
-”Et si nous leur foncions dessus?”
-”C’est le meilleur moyen pour mourir...”
Wesker fit redémarrer la voiture qu’il stoppa quelques secondes plus tard à une vingtaine de mètres du barrage.Les militaires l’avaient appercus et, sans lacher son arme, l’un d’eux se dirigea lentement dans leur direction, un foular noué autour du coup.D’autres militaires visaient le véhicule et n’hésiteraient pas à tirer s’il le fallait...
-”Messieurs dames, vous ne pouvez pas sortir de la ville.” déclara le militaire.
Wesker  mit sa main prêt de son visage comme s’il était éblouit car après tout, il était censé être mort!Mais il faisait déjà nuit et il était peu probable que le militaire le recconaisse.
-”Pourquoi donc?” demanda-il même s’il en savait pertinement la réponse.
-”La ville est en quarantaine et nous avons ordre de tirer s’il le faut!Ce foutu virus ne passera pas!”
Wesker réfléchit un moment.
-”Nous ne sommes pas contaminés.” dit-il.
-”Ah ca... vous n’avez aucuns moyen de le prouver n’est ce pas?”
-”Vous n’avez pas l’air bien protégé contre le virus, un simple foulard...”
-”Vous vous trompez, dit le militaire, nous avons été vacciné contre le virus.”
-”Un vaccin?!?” cria presque Wesker.
-”Ouais, 98% efficace à dit le toubib!”
Un sourir s’afficha sur le visage de Wesker.
-”Il n’y a pas de vaccin contre ce virus...”
-”Ah ouais?Ca m’étonnerait car le gouvernement...”
-”Le gouvernement? le coupa Wesker, le gouvernement avait besoin d’homme pour garder le ville, c’est tout...”
-”Tu dis n’importe quoi!”
-”Crois ce que tu veux...”
-”Cassez vous maintenant!Ou on tire!”
-”Je reviendrai...”
Wesker fit un demi-tour et stoppa la voiture à une demi-douzaine de kilomètres du barrage.
Ada parraissait inquiète et elle demanda:
-”Comment allons nous faire?”
-”Ne t’inquiètes pas.J’ai une idée...”
-”Et c’est quoi?Non ne réponds pas!Je parrie que tu vas encore partir en me laissant toute seule...”
-”Exactement!Reste dans la voiture et attend moi je ne serai pas longt...”
-”Ba voyons...”
Et Albert Wesker se mit à courir en direction de la ville, est-il besoin de le rappeler, à une vitesse phénoménale...

Il arriva à un quartier très fréquenté.Là, le chaos! Des zombies déambulaient dans la rue, certains mangeaient ou finissaient les dernières personnes normales...Wesker se dirigea vers l’un deux.Le zombie l’apercu et vint vers lui.Wesker sauta alors, réatérit derrière lui et lui donna un coup de pied dans le dos qui le fit tomber.Une fois son ennemi au sol, il appuya son pied sur lui de facon à ce qu’il ne se relève pas!Il sortit alors une seringue de sa poche et fit un prélèvement de sang du zombie!Cela dura quelques secondes et, une fois l’oppération terminée, Wesker courra vers une autre partie de la ville...

Il arriva à l’hôpital de la ville 2 minutes plus tard.Le bâtiment était assez impressionnant et Wesker le connaissait assez, le patron colaborant avec Umbrella.Il y avait du métériel spécial entreposé et c’était précisément ce que Wesker voulait employer.Il monta grace à l’ascenseur et arriva dans un couloir.Il franchit une porte et entra dans la pièce.Une machine spéciale servant à développer des virus se trouvait là et il la gagna.Mais il n’était pas le seul être vivant dans la pièce!En effet, deux monstres se trouvaient dans deux capsules spéciales.Celles-ci étaient heureusement extrèmement solides et même s’ils s’échapaient, Wesker pourrait largement affronter les créatures.Il mit le contenu de sa seringue dans une éprouvette et, étant à la base chimiste, il se mit à utiliser la machine de facon à développer le virus et à le modifier...

Trois heures plus tard, il avait enfin finit ! Il sortit de l’hôpital, courru à l’endroit ou il avait laissé Ada et 10 minutes plus tard, il l’avait rejoint.
-”Tu as été longt!”
-”Ne me parle pas comme ca!J’ai été longt mais nous allons pouvoir sortir de cette ville!”
-”Et comment?”
-”Avec ceci!”
Il leva une fiole qui contenait le virus cultivé.
-”Qu’est ce que c’est?”
-”Je n’avais pas de virus sous la main.J’ai donc prélevé le sang d’un zombie et j’ai modifié le virus-T.”
-”Et à quoi cela va-il nous servir?”
-”Je vais me débrouiller pour l’envoyer aux militaires, ils mourront et nous n’aurons cas sortir tranquillement de cette ville.”
-”Comment le virus est-il modifié?”
-”Il n’a rien à voir avec le virus-T, il provoquera de grandes douleurs aux gardes qui mourront normalement.Ensuite, nous pourrons sortir tranquillement.”
-”Mais pourquoi t’es tu fatigué à rendre ce virus moins dangereux que...”
-”Réfléchit!S’il s’avérait que le virus-T se propage sur les militaires gardant les entrés de la ville, les Etats-Unis tout entiers pourraient n’être bientôt peuplés que d’immondes zombies!”
-”Tu...tu as raison...je n’y avait pas pensé...”
-”Mettons nous en route vers le barrage maintenant!”

30 septembre 1998.
1H32.
Après avoir pris la voiture, Wesker et Ada arrivèrent bientôt, et pour la deuxième fois, au barage.Le même militaire rencontré précédement vint vers eux et cria:
-”Cassez-vous d’ici! Je vous ai déjà dit que vous ne pouviez pas sortir de la ville alors partez ou nous tirons!”
Il pointa son M16 vers eux et Wesker sortit le flacon de sa poche.Tout se passa alors très rapidement: le militaire qui était à une dizaine de mètres recu la fiole lancée par Wesker en plein sur le visage, tira une rafale qui cassa le part-brise avant du véhicule et constata avec rage le demi-tour de Wesker...

Arrivés à quelques kilomètres du barrage, Wesker déclara:
-”Il nous faut attendre que le virus tu les militaires, ce qui sera surement très rapide.Le soldat qui a recu la fiole va contaminer tout le monde, c’est une question d’heures...”
Ada ne dit rien.
6H09 du matin.
-”Je les vois! fit Wesker.Ils sont tous morts!”
-”Nous pouvons donc sortir de la ville...”
Une minutes plus tard, ils étaient au barrage et sortirent de la voiture.
-”Mon dieu! fit Ada.C’est horrible...”
Le spectacle n’était en effet pas très beau à voir, les soldats étaient morts de mal de ventres et de diahrées et une odeur pestinentielle parsemait l’air.
-”Ne risquons nous pas d’être nous aussi malades?” demanda Ada.
-”Prend ca.”
Ada prit la fiole que lui tendait Wesker.
-”Boit!C’est un antidote.”
-”Et toi?”
-”Je n’en ai pas besion...”
La femme but alors la fiole qu’elle rangea ensuite.
-”Qu’attendons nous pour partir?”
-”Je cherche un ordinateur, ils en ont surement un!Ah!Voila!”
Il se dirigea vers un PC portable qui était sous une tante installée par les soldats.
-”Il faut qu’on informe le patron de l’échec de notre mission.Je vais me connecter sur un salon privé.”

____________________

Note: Ce que l’on voit maintenant est l’ordinateur que Wesker utilise.

____________________

Connexion effectuée...

Salon...

Recherche salon:BJ6011

Code de sécurité: MSD6377

Nom:W
Mot de passe:2698B413


Attente...

Connexion au salon...

Vous avez rejoins le salon privé BJ6011

W: Chef?

Unknow: Oui.

W: échec de la mission.Le virus n’est pas en notre possession.

Unknow: Hunk?

W: fuite.

Unknow: Annette?

W: échec.

Unknow: petite fille?

W: non trouvée.

Unknow: bonne nouvelle!

W: message non compris.

Unknow: un espion l’a retrouvée!Rentrez immédiatement votre mission est terminée.

W: Ada oui mais moi je peux peut être recceuillir des informations supplémentaires?

Unknow: non!La ville va être rasée demain!

W: ?

Unknow: le gouvernement l’a déscidé ainsi!

W: bien compris nous rentrons tout de suite.

Unknow: nous vous attendons.

Unknow a quitté le salon.

____________________

Note: La vue de l’ordinateur est maintenant terminée et nous suivons Wesker normalement.

____________________

-”Nous devons partir!”
-”Oui, dit Ada, j’ai vu ce qu’il y avait marqué et , de toutes facons, je serais partit quand même!Je ne comptait pas rester ici!”
-”Allons y.”
Ils montèrent une fois de plus dans la voiture trouvée et partèrent pour le quartier général de la sociétée rivale d’Umbrella.Ada, malgré sa force de caractère, semblait avoir vécut une chose beaucoup trop difficile.Elle ne repartirait pas en mission de sitôt.Quand à Albert Wesker, qui avait obtenue une force gigantesque après s’être injecté un virus inachevé que lui avait remit William Birkin, il voulait continuer à combattre! Il ne pensait plus qu’à ca!Son but était de se venger des membres du S.T.A.R.S (qui avaient éliminés le premier Tyrant dans l’accident du manoir et qui avaient donc privés Wesker de son but: l’amener à la sociétée rivale d’Umbrella) et plus particulièrement de Chris Redfield qui était depuis longtemps son rival.
A par ca, il servait maintenant les ennemies d’Umbrella et n’était pas près d’abandonner! Il ne savait pas exactement pourquoi en fait... pour l’argent?Non... à part se venger de Chris, il était surtout exité par le combat ! Et maintenant qu’il avait de nouveaux pouvoirs, il lui serait facile à l’avenir de se divertir...



2 mois et quinze jours plus tard.Quelque part aux Etats-Unis.
Un téléphone sonne.Un homme décroche.
-”Oui?”
-”Wesker?”
-”Oui chef.”
-”Vous êtes au courant qu’Umbrella possède une île quelques part dans le pôle sud?”
-”Oui, elle est dirigée par Alfred Ashford.Il a perdu toute réputation depuis longtemps et les dirigeants d’Umbrella ont fait de son île une prison.Ils y envoient les gens trop curieux et Alfred se plait malgré tout.Il habite là-bas avec sa soeur.Alexia, je crois.”
-”Nous avons obtenus des informations intéressantes à leur sujet... Que diriez-vous si je vous donnais quelques hommes et que vous partiez attaquer l’île?”
-”Attaquer l’île... pour récupérer quelque chose je suppose... c’est une nouvelle mission?”
-”Pas par téléphone.Retrouvons nous à l’endroit habituel.”
-”Comme vous voudrez.”
Les deux hommes avaient maintenant raccrochés. Calmement, Albert Wesker prit ses nouvelles lunettes de soleil, les déplia et se les mis.Il se demandait bien quelle mission allait lui être accordée cette fois ci...


Chapitre 19

Ce chapitre est la suite directe du 17ème et nous suivons toujours le héros Fred.



Nous sommes toujours le 28 septembre, il est 7H43 du matin.
J’ouvre la plaque d’égout... elle produit, malgré mes efforts pour l’en empêcher, un bruit métalique particulièrement dérangeant et perceptible.Kevin et moi- même sommes à présent sur le trotoire.Le soleil se lève...
-”Et nous sommes?...” commenca-il.
-”A l’est de la ville, ce n’est pas un endroit ou il y a trop de monde.Mais faisons attention! Regarde là-bas! Des zombies!”
En effet, une dizaines de ces affreuses créatures déambulaient plus loin mais ne semblaient pas nous avoir repéré.
-”Rentrons dans cet immeubles avant qu’ils ne nous voient!”
Nous rentrâmes alors dans le halle d’un petit immeuble.Personne.
-”Fred! Il faudrait trouver...”
-”Je sais, le coupais-je, quelque chose à bouffer! Il y a surement de la nourriture aux étages mais il faut d’abord s’assurer qu’il n’y a pas d’ennemis!”
-”Ok!”
-”En position!”
Nous nous dirigeâmes vers l’escalier qui nous mènerait aux étages.Kevin était devant moi, son béretta à la main, et commenca à monter, doucement... Nous n’avions que 9 balles... j’en avais 4 et Kevin une de plus que je lui avait donné précédemment.Nous arrivâmes au premier étage.Personne en vue.
-”Eh, dit Kevin, il est inutile d’explorer plus haut tu ne crois pas?Barricadons l’escalier une fois avoir visité les appartements de cet étage.Ainsi, aucune créature se trouvant éventuellement plus haut ne pourra descendre.”
-”Oui tu as raison! Nous allons faire comme ca! Entrons dans le 1er appartement!”
Kevin se placa alors devant la porte.Je me mit contre le mur à la gauche de cette dernière et posa ma main sur la poignée.Fermée.Je le fit comprendre à Kevin et BOUM ! Il avait enfoncé la porte d’un coup de pied ! Nous pénétrâmes dans l’appartement ! A chaque nouvelle porte, nous procédions tactiquement, comme on nous l’avait appris à l’entrainement.Nous ne trouvâmes personne.

10 minutes plus tard, nous avions examiné tout l’étage et n’avions trouvé ni zombies, ni humains, ni aucune sorte de créature.Nous prîmes alors les plus gros meubles que nous pouvions et les mîmes sur l’escalier menant aux étages supérieurs.Après avoir finit cela, nous allâmes dans une cuisine que nous avions repéré précédemment...
 
-”Ouf! fit Kevin après avoir engloutit un troisième hamburger, ca fait du bien!”
-”Oui! Je n’avais jamais éprouvé une aussi forte envie de manger!”
Quelques minutes s’écoulèrent.Nous avions bien mangés.
-”Alors?” fit Kevin.
-”Alors quoi?” dis-je.
-”Que faisons-nous?”
-”Que veux-tu que nous fassions?La ville est en quarantaine, nous n’avons presque pas de munitions...je suppose que nous allons quand même essayer de forcer le barrage et que, comme les autres, nous allons mourir... ou alors rester ici et crever quand nous n’aurons plus de munitions... ou encore se faire dévorer par des zombies...”
-”Putain de merde! Enculés d’Umbrella! Pourquoi a-t-il fallut qu’ils s’installent dans notre ville!”
-”Pourquoi a-t-il fallut qu’ils s’installent tout cour...et ils ont des centres partout dans le monde...”
-”Putain! Et personne ne les soupconne!”
-”Tu as raison, dis-je, personne ne les soupconne et les gens continus d’acheter leurs produits sans savoir qu’une bonne partie de l’argent est utilisée à des recherches sur des virus...”
C’était ridicule... une petite cuisine moche... une table misérable... deux êtres faisant surement pitier... Que faisait le gouvernement en cet instant? Et les dirigeants d’Umbrella? Quelqu’un allait-il comprendre que c’était eux les responsables de cette tragédie? Surement pas... Après tout, qui le savait? Les membres du S.T.A.R.S bien sur... c’est dailleur eux qui nous l’avait apris.Et qui d’autre? Personne... Et personne ne le découvrirait de toute facon... Brian Irons, le commissaire, travaillait avec Umbrella! Et Albert Wesker! Même s’il était mort, lui aussi avait trahit les S.T.A.R.S ! Bon sang! Si deux hommes aussi important nous ont trahis, et sachant qu’Umbrella dispose de centre à travers toute la planète, de nombreuses autres personnalités détenant un pouvoir sont surement avec eux!
Soudain, Kevin redressa la tête et je pu voir dans ses yeux un mélange de peur, d’angoisse et de panique!
-”Fred! dit-il.Fred! Je ne veux pas mourir! Putain je ne veux pas mourir mec!”
-”Moi non plus Kevin... moi non plus...”
Il sanglotait à présent.
-”Putain! Non je ne veux pas! Seigneur! Seigneur! Pitié!...”
-”Oui... pitié Seigneur... s’il existe...”


Nous suivons maintenant d’autres personnages et le récit est à la troisième personne.

Au même moment : 8H00 , aux Etats-Unis : Pentagone.

-”Monsieur le président je...”
-”Je ne sais pas si c’est une très bonne idée Monsieur le Ministre!” coupa le général.
Le Ministre de la défense fixa le général.
-”Général, dit-il d’un ton assez froid, avez vous une meilleure proposition à nous donner!? Car dans ce cas je serais heureux de l’entendre!”
-”Ca suffit!” intervint le président.
Comme le 27 septembre dernier, le gouvernement des Etats-Unis s’était réunit pour parler de la crise de Raccoon City et prendre une décision.Pour l’instant, la ville était en quarantaine mais cela n’allait pas durer éternellement.
-”Bien, continua le président, Général vous nous dites qu’aucun envoie de force de secour n’est utile.”
-”Tout a fait exacte monsieur, confirma le général, cela ne servirait à rien et...”
-”Mais dans ce cas pourquoi ne pas...”
-”Monsieur le Ministre s’il vous plait!” coupa encore une fois le président.
Et le Ministre de la défense se tue.
-”Général, à combien estimez-vous le pourcentage de personnes infectées?”
-”D’après nos appels sans réponses, nos éclaireurs, nos photos satellites et autres renseignement... 90% de la population serait infectée Monsieur.”
Un silence se fit alors.Seul quelques “Seigneurs” émanant de quelques politiciens et politiciennes le troublère... Le président se tourna vers le Ministre de la défense:
-”Monsieur le Ministre.Exposez-nous encore une fois votre solution.”
-”Et bien... je perciste à dire messieurs (il balaya la grande salle du ragard) que l’arme atomique reste la solution pour se débarasser de cette menace!”
Silence.
-”Général? interrogea le président.Qu’en pensez-vous?”
-”Je pense que nous devrions attendre avant de prendre une telle décision, Monsieur le Président.”
-”Attendre quoi!? repris le Ministre de la Défense.Mais qu’attendez-vous vous donc bon sang!? Cette ville est perdue et nous risquons une propagation à attendre plus longtemps !”
-”Malgré tout ceci, dit le général, il y a tout de même quelques milliers d’habitants encore en vie dans cette ville Monsieur le ministre, et peut être avons nous encore une chance de les sauver.”
-”Mais aussi une chance d’anéantir l’espèce humaine en attendant plus longtemps!”
-”Monsieur le Ministre! cria le président.Calmez-vous je vous pris! Si quelques milliers d’habitants sont encore en vie nous devons attendre avant de raser la ville qui, je vous le rappel, est en quarantaine et bien protégée n’est ce pas Général?”
Le général fit un signe de tête à un de ses collègue qui se leva en faisant un bref salut militaire.
-”Monsieur le président, messieurs les ministres, Colonel Dilinger, chargé de la mise en quarantaine de la ville.”
-”Présentez -nous votre rapport colonel.”
-”Eh bien, nos hommes sur place nous affirment qu’aucunes personnes n’ont pu passer le barrage.Toutefois, il y a eu des affrontements.En effet, beaucoup de civils ont voulu forcer les différents points de fermeture, ce à quoi nous nous attendions, mais sans succès.Nous n’avons perdus aucuns hommes.”
Le gouvernement américain parraissait satisfait.
-”Bien, fit le président d’un ton de conclusion, nous attendons encore avant de passer à l’action.”
Le Ministre de la Défense ne parla pas mais manifesta son mécontentement en se levant brusquement.
-”Désolé Monsieur le Ministre, reprit le président, mais il n’est pas encore temps d’agir. Si nous ne pouvons progresser d’ici les prochaines 24 heures, alors nous nous préparerons à rayer Raccoon City de la carte.Militaires, maintenez vos barrages, continuez à prendre des photos satellites, cherchez les responsables de ce désastre.Ou en sommes nous avec l’U.B.C.S Général?”
-”Ils se sont sans doutes fait exterminer... nous n’avons plus eu de nouvelles...”
-”Nous remercierons tout de même Umbrella Corporation pour leur soutien.Et avec les journalistes?”
Un homme se leva alors.
-”Ils sont au courant Monsieur le Président, ils ont simplement dis que la ville de Raccoon City était en quarantaine pour une obscure raison.”
-”Bien, les gouvernements des autres pays?”
Le Ministre des affaires étrangère se leva.
-”Nous leur donnons régulièrement des informations Monsieur le président.Ils font tout pour nous aider.Leurs armées sont en état d’alerte constant.”
Tout était mit en oeuvre pour lutter contre le fléo du virus qui ravagait Raccoon City.Tout.Le président fit alors face à l’assemblée.Tout le gouvernement des Etats-Unis était devans lui.
-”Messieurs, Mesdames, nouvelle réunion dans 24 heures sauf s’il se passe un évènement important qui nous obligera à se réunir avant.Que notre peuple soit fort, notre armée efficace, notre gouvernement intelligent et... que dieu nous protège...”


9H00.
Paris.
Siège d’Umbrella Chemical Inc. .
toc ! toc ! toc !
-”Entrez.”
Christine Anri entra dans le bureau du PDG.Plusieurs hommes étaient là.
-”Monsieur, nous avons recu un e-mail du gouvernement américain.”
-”Quoi?!” dit l’homme qui parraissait pris d’un peur soudaine.
Tout le monde se regarda avec panique.
-”Rassurez-vous! Rien de grave ! s’empressa de répondre la femme.”
-”Lisez-le nous Christine.”
La femme s’assit et commenca à lire.
-”Monsieur (Note de l’auteur: je préfère ne pas donner de nom à l’homme dirigeant la société Umbrella depuis la descente hiérarchique des Ashford.Par contre le nom de la femme existe bel et bien sur un document de RE2) , dirigeant de la société Umbrella Chemical Incorporation, nous avons l’immensse tristesse de vous anoncer l’extermination apparente de votre unité militaire U.B.C.S. Vous nous aviez communiqué sa mission qui était d’aider les civils dans Raccoon City.Cet acte noble s’est malheureusement soldé par un échec. Toutefois, une fois le fléo réglé (celui-ci est en train d’être étudié au Pentagone), c’est avec joie que le gouvernement américain honnorera ces hommes courageux. De plus, j’ai déscidé que la société Umbrella serait également honnorée pour les services financiers rendus, en plus de cette aide militaire. En espérant trouver un jour les responsables de ce fléo, avec votre aide précieuse, je vous adresse mes plus humbles remerciements. Cordialement. C’est signé le président des Etats-Unis Monsieur.”
Le silence raignait dans la salle.Tout les dirigeants d’Umbrella souriaient.Le chef de tous ces hommes eu un petit rire et dit de sa voix très calme:
-”Très bien, il semble que ce cher gouvernement ne se doute de rien.Nous avons détruits des centaine de milliers de vies et nous allons être honnorés... parfait messieurs... pour nous, le problème est résolu...”


Chapitre 20

Nous sommes toujours le 28 septembre, il est 10H41... nous sommes las ...

Toujours dans ce misérable immeuble, dans ce ridicule appartement... à présent dans le salon, entassés dans un canapé, Kevin et moi même ne disions rien.

11H09, Kevin se leva.
-” tsss, fit-il tout en s’approchant du poste de télévision.”
Il l’alluma, une émission idiote apparut alors à l’écran, le genre d’émission qui marche  grâce aux personnes du troisième âge n’ayant plus grand chose à faire de leur vie.
-”Incroyable, dis-je, le capitaine Irons à bien calculé son coup ! Personne n’est au courant de notre situation...
- Ouais, gromela Kevin qui se tenait debout une main sur la hanche et la tête légèrement inclinée, en effet ouais...
- Tu vas regarder cette émission ? demandais-je.
Kevin sembla réfléchir un moment, il était de toute évidence fatigué, tout comme moi dailleur.
- Non non, dit-il sans détourner le regard de l’écran, je voulais voir le journal.
- Hum, dis-je en regardant ma montre, on a encore le temps.
Le son de la télé fut soudainement coupé par Kevin qui avait appuyé sur le bouton adéquat à cette opération.Il revint alors s’asseoir, dans un fauteuil cette fois, ce dernier étant à la droite du canapé ou je me trouvais.
- Fred, dit-il d’une voix morne.
- Oui ?
- Tu as déjà pensé au suicide ? Depuis cette situation je veux dire.
Je regrettais alors que Kevin aborde ce sujet, cela ne pouvais faire que nous affaiblir psychologiquement puisque en effet j’y avais déjà songé, lui aussi apparemment...
- Pour être honnête, commencais-je, oui. Mais je ne sais pas si je serai capable de passer à l’acte...
Kevin, qui fixait le sol, dit soudainement en redressant la tête :
- Moi si ! Ce n’est pas difficile quand on est décidé...
- Kevin ! dis-je en le regardant sévèrement, ne dit pas ca, ca me déprime ! Et j’ai surement pas envie de me retrouver tout seul !
Kevin rebaissa son regard et dit :
- Désolé Fred... je suis vraiment désolé mais je sais que l’on ne s’en sortira pas... n’est ce pas ?
Je ne répondis rien.
- N’est ce pas Fred ?
Je me taisais toujours.
- N’est ce pas Fred que l’on ne sortira pas, tu le sais autant que moi Fred, on ne s’en sortira pas !
“Et merde” , pensais-je.
- Il est inutile de se le cacher, continua Kevin, on le sait et...
- Oui ! le coupais-je, oui ! On le sait Kevin ! On va crever ici ! Bien sur qu’on le sait ! On a aucune chance de s’en sortir putain de merde ! Alors pas la peine d’en rajouter !
Kevin, qui avait redressé la tête, me fixait d’un regard d’interrogation.
- Mais alors, dit-il, pourquoi ne pas se tuer maintenant ? Pourquoi continuer à soufrir Fred ?
Je tournai alors ma tête dans sa direction puis, d’un regard et d’un ton déterminé je répondis :
- Parce que nous sommes trop faible Kevin... parce que nous sommes trop faible et trop lâche...
Et nous nous tûmes.

10 minutes nous séparraient à présent de l’heure du journal télévisé, pourtant, l’émission fut coupée et le présentateur du journal  apparut.Kevin remit le son et nous fûmes attentifs.
- “ Mesdames , messieurs, bonjour.Suite à un évènement extrèmement grave, nous interrempons nos programmes.Nous venons d’apprendre il y a quelques minutes que la ville de Raccoon City, situé dans le Middle West, était toujours tenue en quarantaine par l’armée.Nous avions appris ca précédemment mais on nous avait assuré que cela ne durerait pas longtemps.Pourtant, les barrages sont maintenus.Nous ne savons pas précisément ce qu’il se passe dans cette ville mais il est certain qu’elle est complètement surveillée et qu’aucune personne n’est autorisé à y entrer ! Nous rejoingnons notre envoyé spécial situé à un kilomètre du barrage instauré par les militaires. Jeanne c’est à vous.”
L’écran changea alors et une jeune femme apparut.
“Je suis en ce moment à environ un kilomètre de la ville et comme vous pouvez le voir, un premier barrage est présent, des militaires bien armés empêches tout passages ! Personne n’est autorisé à entrer ou sortir de la ville et ...”
Des soldats arrivèrent alors près de la journaliste, l’un d’eux mit sa main sur la caméra.
-” On vous a déjà dit de ne pas trainer ici ! Allez reculez !”
Le présentateur réapparut alors à l’écran.
-” Il se passe véritablement quelque chose dans cette ville, dit-il. Nous allons maintenant nous tourner vers la maison blanche.Maxime c’est à vous.”
Il y eu maintenant un homme d’une cinquantaine d’année à l’écran.Enormément d’autres journalistes étaient présents.
-” Oui je suis devant la maison blanche mais malheureusement personne n’a encore fait de déclaration, pas même le président.Aucune nouvelle n’est donc à notre disposition pour le moment.”
Alors que d’autres reportages apparaissaient, nous nous regardâmes Kevin et moi.
-” Ca y est, dis-je, ils sont au courant qu’il se passe quelque chose ici.
- Pouvons-nous espérer quelque chose de positif ? demanda Kevin.
Je vis une lueure d’espoir briller dans ces yeux, il y en avait une surement dans les miens aussi...
- Peut être, dis-je, espérons, prions...”

Une heure était maintenant passée et les médias ne semblaient pas avoir d’informations supplémentaires.Le présentateur apparut soudainement à l’écran alors que la chaîne traitait de choses sur le sujet sans importances.
-” Mesdames et Messieurs, dit-il, le président des Etats-Unis va s’exprimer, une conférence de presse ayant été organisée.”
La salle de la maison blanche ou avaient généralement lieu les conférences de presse apparut alors.Le président faisait face à tout les journalistes.
-” Mesdames et Messieurs, commenca-t-il, bonjour. Si vous êtes ici c’est que vous avez remarqués que la ville de Raccoon  City était tenue en quarantaine par notre armée. Cela s’explique par une horrible chose.”
-” Il va le dire.” dis-je.
Le président reprit :
-” Le virus de la peste s’est répendu dans Raccoon City.”
Des exclamations eurent alors lieu dans la salle de conférence pendant que je criais :
-” Les salauds ! Ils ne disent même pas la vérité ! Il fallait s’y attendre !”
Les journalistes furent priés de se calmer et le président continua :
-” Mesdames et Messieurs je vous demande de garder votre calme.La ville est bien surveillée et personne ne peut ni y entrer, ni en sortir.Le virus ne peut donc pas se propager et même dans ce cas la il serait fait en sorte que tous les habitants de la région concernée soient vaccinés.Il n’y a donc pas à s’inquiéter, nous contrôlons totalement la situation.”
Les journalistes eurent l’autorisations de poser des questions.
-” Monsieur le président, commenca l’un d’eux, combien de personnes ont déjà succombés au virus ?
- Je ne sais pas, mais un petit nombre assurément.
- Monsieur le président, avez vous une idée de l’origine du virus ? La peste est très rare de nos jours.
- Désolé je ne sais pas non plus mais nous étudions la question de très près, soyez en assurés.
Une journaliste cette foit fut autorisée à poser sa question.
- Monsieur le président, comment se fait-il que cette mise en quarantaine de la ville dure aussi longtemps ? La peste se soigne rapidement aujourd’hui, et les services de médecines peuvent logiquement tout gérer en quelques heures devant un tel danger.
Le président réfléchit alors.
- C’est plus complexe que cela Mademoiselle, la peste qui touche Raccoon City est la peste de type pulmonaire, elle est transmise directement d’homme malade à homme sain et se propage très rapidemment.C’est donc une sécurité que de garder la ville en quarantaine.Mais tout sera bientôt rentrer dans l’ordre, je vous le répète, ne vous inquiétez pas.Et maintenant excusez moi mais je dois retourner étudiez cette crise pour mieux la vaincre.”
Les journalistes se levèrent tous pour espérer avoir une réponse à leur questions mais le président était partit.

Kevin coupa le son alors que le présentateur réaparraissait.
-” Ils ne disent même pas la vérité... dis-je.Les médias vont croire que ce n’est pas grave et ils ne pourront donc faire pression sur le gouvernement pour que quelqu’un vienne nous chercher... ils vont se contenter d’attendre, jusqu’à ce que le gouvernement leur informe que tout le monde est mort pour une obscure raison qu’ils auront encore inventés...  
Nous avions retrouvés nos regards tristes.
-” Fred, dit-Kevin, nous sommes...”
-” Perdus, oui...”

14H15, Maison Blanche, salle de réunion ou tout le gouvernement américain est rassemblé.
-” Bravo Monsieur, dit le premier ministre, les médias croient à la version du bacille de la peste.
- Merci, répondit le président, ils y croient effectivement mais pour combien de temps ? Personne ne pourra être sauvé de la vrai catastrophe que nous connaissons ...
- Il faudra alors inventer autre chose de plausible... dit le Premier ministre.”
Le président s’assit.
-” Messieurs, dit-il, continuons d’analyser la situation. Général ?
- La ville est contaminée à environ 98%, monsieur le président...”

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