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Resident Evil - Les Policiers de Raccoon - Chapitres 1 à 4
Auteur :
Rodoudou
Genre : Épouvante/Action/Aventure - 23 chapitres - Non finie
Date de parution : ?


Les Policiers de Raccoon
By
Rodoudou


Chapitre 1

Je m’appelle Fred! Je suis policier à Raccoon City, une petite ville tranquille des États-Unis. Mais depuis quelques temps, depuis le fameux “accident du manoir”, notre ville est troublée. En effet, le 23 juillet dernier, d’étranges morts dans les montagnes d’Arklay avaient attirées notre attention et notre groupe d’intervention spécialisé, le S.T.A.R.S (special tactic and rescue service), était intervenu. Bien que ne connaissant pas les détails, il y avait eu de nombreux morts: Forest Speyer, Richard Aiken, Enrico Marini, Joseph Frost, Kenneth J. Sullivan, Edward Dewey et Albert Wesker étaient morts. Wesker ayant apparemment agi en traître, travaillant pour la société qui était derrière tout ça: UMBRELLA Chemical Inc. Celle-ci avait créé un virus, le virus-T, capable de transformer les hommes en espèces de zombie. Et ces expériences avait été faites secrètement dans ce laboratoire. Les survivants de notre équipe: Chris Redfield, Jill Valentine, Brad Vickers, Rebecca Chambers et Barry Burton avaient détruit le laboratoire et le virus avec.

Ce matin, le 25 septembre 1998, je me rendais comme chaque jour au commissariat de Raccoon. En arrivant, quelqu’un m’interpella.
-”Salut Fredo!”
C’était John, mon meilleur ami. Lui aussi était policier.
-”Salut John, ça va?”
-”Ouais .Eh dis donc!T’as vu le capitaine Irons ce matin?”
Brian Irons était le commissaire du poste de police.
-”Non, répondis-je, pourquoi?”
-”Il est furax man!!!!!!!!Surtout, ne va pas l’emmerder hein? C’est pas son jour!”
-”Ça va nous changer!”
-”Non! Sans rire! Tiens! Tout a l’heure y parait qu’il a braqué son flingue sur Ken!”
-”Vraiment?”
Ken était un ami lui aussi, un black bien baraqué!
-”Je te jure!Ce gars doit avoir de graves problèmes psychologiques!”
Depuis quelques temps déjà, le capitaine Irons était de très mauvaise humeur mais n’avait, jusqu’ici, jamais sorti son flingue.
-”Bon bah je te laisse! A tout a l’heure Fredo!” dit John.
-”Tu vas où?”
-”En ville, il parait qu’il y a encore des problèmes!”
En effet, 2 mois après “l’accident du manoir”, certaines personnes mouraient et d’autres affirmaient avoir vus des créatures bizarres. Y avait il un rapport? Cela était d’autant plus inquiétant que les morts, les agressions et les témoignages se multipliaient.
-”A tout à l’heure alors! Et fais gaffe!”
-”T’inquiète pas mec!” me dit John qui se dirigeait vers le garage.
Le commissariat était vraiment immense. Je me dirigeais vers les bureaux du bloc ouest au fond à gauche du bâtiment et dis bonjour a George, le gardien, qui me répondit par un bref signe de tête. En arrivant dans la salle, Phil, Clark et David me saluèrent. Ce dernier était le sergent. Il vint vers moi et me dit:
-”Une nouvelle recrue! Leon Scott Kennedy. Il arrivera dans 3 jours.”
-”Ah?Très bien.”
Le commissaire avait engagé plusieurs hommes pour palier aux accidents de la ville.
-”Tu sais Fred, ça va mal en ville. Nous sommes en situation de crise!”
-”A ce point?”
-”De nouvelles agressions ont eu lieu! Des personnes sont retrouvées déchiquetées!”
-”Tu crois que ça a un rapport avec l’accident du manoir?”
-”Je n’en ai aucune idée mais nous nous préparons à faire face à une menace terroriste!”
-”L’enquête est toujours en cours?”
-”Oui! Chris Redfield est parti en Europe, à Paris. C’est là où se trouve les dirigeants d’Umbrella.”
-”Si ce sont ces salauds qui ont fait le coup...”
-”Nous ne pouvons pas le prouver, Fred! me coupa David, je te rappelle que le manoir a brûlé!”
-”Oui,c’est vrai... Bon! Je vais me plonger dans la paperasse qui m’attend!”
-”A plus tard!” me dit David en regagnant son bureau.

Il était maintenant 11H30 (du matin)! Plus de 3 heures que j’examinais des papiers. Ma pose était dans une demi-heure. Je pensais à John. Aussitôt, Ken entra dans le bureau et dit:
-”Eh Fred! John est revenu! Il parait qu’il y a eu des coups de feu!”
-”Merde! Et y a eu des blessés?”
-”Pas vraiment de notre coté en fait! Ils ont tirés sur des civils! C’est bizarre ce qui se passe!”
-”Dans quel quartier de la ville?”
-”Vers l’est! Tu viens voir John?”
-”J'arrive!”

John était dans le garage avec la dizaine d’homme qui l’avait accompagné.
-”C’était horrible! me dit il, nous avons du tirer sur des civils!”
-”Putain mais qu’est ce qu’il se passe dans cette ville?!” dit Ken.
-”J’en sais trop rien, les gars! dit John, mais restez en alerte!”

Il était 17H30. Je saluais tout le monde et sorti du commissariat pour rentrer chez moi. J’habitais à l’ouest de la ville et ce quartier avait pour l’instant été épargné des accidents. Je m’endormis d’une traite après avoir regardé le journal télévisé. Personne n’était au courant de ce qui passait à Raccoon City et même le maire, Michael Warren, n’avait pas fait de discours.

Le lendemain matin, j’étais un petit peu en retard, il était 8H12 et nous étions le 26 septembre. L’explication était simple, le bus n’était pas venu! Alors que je me dépêchais d’arriver au commissariat, un cri attira mon attention : un homme était en train d’en mordre un autre à la jambe. Je traversai la rue pour me rendre sur le trottoir d’en face ou se déroulait la scène. Je remarquai alors que l’agresseur avait la peau en lambeau.
-”Police! criais-je en pointant mon flingue sur celui-ci, veuillez mettre vos mains sur la tête et vous éloigner de cette personne!”
Mais cela ne servait à rien! L’homme continuait de mordre la malheureuse victime qui se débattait.
-”Aidez-moi!!!!” criait celle-ci.
Qu’étions nous censé faire dans ce genre de situation? Je criais:
-”Éloignez-vous!!!!!!!!! mais l’agresseur ne semblait pas m’entendre. Bordel de merde!!!!! Lève toi et mets les mains sur la tête ou je tire!!!!!!!”
Rien à faire!
PAN!!!!!!!! J’avais tiré une balle dans la jambe de l’homme. Celui-ci émit un grognement et continua de mordre la victime. Celle-ci frappait et frappait son agresseur à la tête mais rien ne se passait. Du sang coulait sur sa cuisse. PAN!!!!!!!!!!!!PAN !!!!!!!!!!!!! Dans les jambes!!!!!!! Rien a faire!!!!!!!!!!!!!!!!!
-”Putain mais qu’est-ce qui se passe!?” hurlais-je au moment ou cette espèce de zombie enfonça ses dents dans la gorge du malheureux homme. Celui-ci cracha du sang a n’en plus finir, il en était couvert! Le zombie se tourna alors dans ma direction, se leva et vint vers moi d’une démarche grossière sans se soucier de mon flingue, toujours braqué sur sa tête.
-”Pas de bêtises mec!!!!!!! Arrête-toi ou je tire!!!!!!!!!!!!! Et dans ta tête, cette fois!!!!!!!!!!!!”
Il continua pourtant à avancer vers moi. J’aperçus alors qu’il avait un gros trou dans le ventre! Comment un être pouvait-il encore vivre avec une telle blessure?
Des passants venaient dans notre direction.
-”Cassez-vous d’ici et allez appeler une ambulance, vite!!!!!!!!!!! Toi!!! Dernier avertissement!!!!! Je vais tirer!!!!!!!!”
Il était a 3 mètres de moi.
-”Arrête toi!!!”
Deux mètres.
-”Je rigole pas!!!!!!”
Un mètre! PAN!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! SSPLAAAATCHHHHHHHHH!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Des bouts de cervelle giclèrent en tous sens! J’avais tiré!!! Le zombie s’écroula.
-”Allez appeler une ambulance!!!!!!!!!!!!!” hurlais je, bien que je savais qu’on ne puisse pas faire grand chose pour ces hommes. Deux personnes approchaient.
-”Allez vite prévenir quelqu...” mais je me tus aussitôt. Les deux hommes qui venaient dans ma direction étaient couvert de plaies et de sang! Leur peau était également en lambeau.
-”Putain de merde!!!”
Je décidais de courir vers le commissariat en les contournant. J’en étais à 5 minutes de marche. Sur mon chemin, je vis encore des zombies occupés a” manger” des gens normaux, une voiture était en flammes. J’aperçus enfin le commissariat ,un zombie était étendu par terre. La grille principale était fermée.
-”Fred!!!!!!! Viens! On va t’ouvrir!”
C’était John. 10 secondes plus tard je me trouvais dans l’enceinte du commissariat.


Chapitre 2

-”Bon sang mais ou t’étais?” me dit John.
-”Y a pas eu de bus ce matin! Mais qu’est ce qui se passe?”
-”De nombreuses agressions ont encore eu lieu cette nuit et des espèces de zombies rodent en ville!”
-”Je sais! J’en ai rencontrés ce matin! C’était horrible!”
-”Ils se sont multipliés ces dernières heures! David croit que c’est une épidémie du virus qui avait déjà agi dans l’accident du manoir!”
-”Mon dieu! Je m’en doutais!”
Nous avancions à travers le halle du commissariat, tout les collègues s’agitaient et avaient l’air de se préparer. J’apercu George et Elliot qui se dirigeaient vers la première porte à gauche de l’entrée.
-”Ou vont ils?” demandais-je à John.
-”Dans la salle de réunion! Le capitaine Irons nous a donné rendez-vous a 8H30!”
-”Y a eu des combats ce matin? J’ai vu un de ces zombie étendue devant le commissariat!”
-”Oui, nous avons du tirer! Mais ca va s’agraver si c’est une épidémie! Les gens contaminés sont mutilés et sont apparement poussés a manger leurs victimes! il regarda sa montre. Il est temps d’y aller! La réunion va commencer!”
La salle de réunion était plutôt grande. La plupart des policiers étaient déja là et nous nous asseyâmes entre Ken qui était à ma droite et Phil qui était à la gauche de John. Ceux-ci nous saluèrent et je vis le capitaine Irons qui était encore assit. D’autres policiers arrivaient et nous étions quasiment tous réunis dans la salle. Les absents devaient sûrement garder les entrées du poste. Le capitaine Irons se leva et fit taire tout le monde d’un geste de la main.
Tous les regards étaient braqués dans sa direction.
-”Messieurs! dit il. Nous sommes en situation de crise! Notre ville est apparemment exposée à l’épidémie du virus qui avait déjà frappé lors de l’accident du manoir!”
Des chuchotements eurent lieu pendant un petit moment mais cessèrent vite. Le capitaine continua:
-”Les sujets contaminés font preuve d’une résistance hors du commun et mangent leurs victimes!”
D’autre chuchotement eurent lieu et mirent plus longtemps à s’arrêter que la première fois.
-”Nous devons donc nous préparer a agir au plus vite! Pour l’instant les... euh... créatures... nous allons les appeler zombies, ne sont pas très nombreux mais il n’est à pas douter que d’ici ce soir, presque tous les civils seront contaminés!”
Cette fois tout le monde dans la salle exprima son étonnement et sa colère.
-”Messieurs! S’il vous plait! Gardez votre calme! Il ne faut surtout pas céder à la panique!” cria le commissaire. Les conversations se turent. Irons reprit:
-”Sergent Ford! (David se leva) Sergent je vais vous demander de créer une barricade à l’Ouest du commissariat. Vous aurez 15 hommes sous votre commandement.”
-”A vos ordres! Capitaine!”
-”Sergent Douglas!” (l’autre sergent se leva) Vous vous occuperez de la barricade Est et vous aurez également une quinzaine d’hommes sous votre commandement.”
-”A vos ordres!”
-”Ces barricades serviront à nous protéger au cas ou nous en serions réduit à nous réfugier dans ce commissariat. Bien! Avant de faire cela l’agent Peter (celui-ci se leva) qui est responsable de l’armement vous fournira justement des armes et des munitions! Rendez-vous dans le hall après la distribution et nous formerons les groupes! Voila! Messieurs! C’est tout pour le moment! Rompez!”
Tout le monde se leva bruyamment et se dirigea vers la sortie pour se rendre ensuite au sous sol, là ou se trouvait l’entrepôt d’armes. Arrivés devant la porte, David nous dit de se mettre en file et l’agent Peter ouvrit la salle à l’aide d’une carte magnétique.
-”OK! Avancez un par un!”  dit David.
Chaque policier était équipé en permanence d’un Beretta et d’un chargeur. On nous donna à chacun une boite de balle supplémentaire (20 balles), certain eurent des fusils Remington M-1100, d’autres de petites mitraillettes et d’autres encore des arbalètes, il y avait aussi des Desert Eagle 50 E et des lances grenades. Ces derniers étant au nombre de 2, il n’y en aurait qu’un  par groupe. Pour ma part, je reçus un fusil, John une arbalète et un Desert Eagle, Phil et Clark une mitraillette chacun, David un fusil, Elliot un Desert Eagle et Ken fut choisi pour avoir un des 2 lance-grenade. Nous étions une cinquantaine d’homme et il restait quand même un stock important d’armes. Peter referma l’entrepôt et nous remontâmes pour former les groupes. Je faisais parti du groupe ouest et je me retrouvai avec mes vieux potes: John, Ken, David, Elliot, Phil, Clark et une dizaine d’autres agents que je connaissais moins. Peter alla avec le sergent Douglas à l’est.
-”Bien! dit le commissaire alors que tout le monde était dans le hall. La vingtaine d’homme qui ne va pas construire la barricade doit aller se préparer à un assaut éventuel en ville! Quant aux membres du S.T.A.R.S, ceux-ci peuvent continuer leur enquête sur l’origine du virus.”
Je vis alors Jill, Barry et Brad qui remontaient dans leur bureau situé au premier étage.
-”Venez les gars!” nous dit David.
Nous nous dirigeâmes alors vers l’ouest (à gauche en entrant) du commissariat et David nous ordonna de condamner les fenêtres à l’aide de planches. Ensuite, nous devions condamner tous les accès sauf la grille principale qui était gardée par 2 hommes en permanence. Après avoir fini tout cela, nous mangeâmes quelques sandwichs. Il était maintenant 12H45 et nous étions près à faire face à une attaque.


Chapitre 3

Il était maintenant 17H38,nous étions bien organisés et n’avions eu aucun problèmes pour le moment. La situation était simple: 2 groupes de 15 hommes chacun étaient postés à l’ouest (je fais parti de se groupe) et à l’est du commissariat, aux grilles précisément, et si la situation tournait mal nous pouvions nous réfugier  à l’intérieur.
Un autre groupe d’une vingtaine d’hommes se préparait depuis ce matin pour agir éventuellement en ville et pour se rendre compte de la situation.
-”Oh! Oh!” fit John.
-”Qu’est ce qu’il y a?” demandais-je.
-”Ils arrivent! Regarde!”
En effet, en regardant au loin on pouvait apercevoir une bande d’une quarantaine de zombies.
-”Préparez vous!!!!!! hurla David. Et visez juste pour ne pas gâcher de munitions!”
On entendait le sergent Douglas qui hurlait les mêmes ordres à l’autre groupe. Tout le monde était près,les armes à travers les barreaux des grilles. Les zombies se rapprochaient.
-”Ils nous ont flairés!!!!” dit Ken.
Ils étaient à une cinquantaine de mètres.
-”Bon sang!Ne tirez pas!” hurla Clark.
-”Quoi?” dit David.
Je compris ce qu’avait voulu dire Clark. Il n’y avait pas que des zombies qui avançaient vers nous,il y avait aussi quelques personnes normales qui cherchaient à leur échapper.
-”Merde! Qu’est ce qu’on fait?” cria un agent.
Mais on ne lui répondit pas tout de suite. En effet, qu’allions-nous faire? Allions-nous laisser les civils entrer? Allions-nous leur tirer dessus? Ken dit a David:
-”Sergent, je juge préférable de ne laisser entrer personne. Et s’ils étaient contaminés?”
David qui n’avait apparemment pas pensé à cela répondit:
-”Alors nous ne les laisseront pas entrer! Tirez quand je vous en donnerai l’ordre!”
Il s’éloigna un instant et alla prévenir le sergent Douglas qui était d’accord avec lui pour ne laisser entrer personne.
-”Les civils arrivent, sergent!” dit Clark.
En effet, la dizaine de personnes normales arriva à nos grilles. Une femme hurla:
-”Laissez-nous entrer!!!!!!! Vite!! Ils arrivent!!!!!!!!”
Les zombies n’étaient plus qu’à 30 mètres des grilles. David dit avec difficulté:
-”Désolé, madame! Mais nous ne laisserons entrer personne!”
-”Enculés de flic! crièrent deux jeunes. Vous allez nous laisser nous faire bouffer!? Ouvrez-nous!!!!!”
-”Cassez-vous ou nous tirons!” hurla David.
Les zombies n’étaient plus qu’à vingt mètres. Les civils nous insultaient.
-”Putain!!! Ouvrez vos grilles!!! Vous pouvez pas nous laisser là!!!!” dit un homme.
-”Préparez-vous à tirer!” cria David.
Le sergent Douglas donna les mêmes ordres à son groupe. Ce que nous faisions était de toute évidence cruel mais si nous sauvions ces gents, nous courrions un risque pour la suite. Les zombies n’était plus qu’à 10 mètres. Finalement, 8 des civils partirent mais il en restait encore 2: un vieil homme qui paraissait très fatigué et une femme. Celle-ci me fit horreur quant elle nous dit:
-”S’il vous plait, je suis enceinte! Laissez moi entrer!”
David paraissait bouleversé et il n’était sûrement pas le seul. Il ne savait pas quoi dire et les zombies étaient à quelques mètres.
-”Sergent! Nous pourrions peut être la laisser entrer!” dit Phil précipitamment.
-”Il n’en est pas question! Feu à volonté sur les zombies!” hurla David.
La femme et le vieil homme se couchèrent. Les zombies étaient à trois mètres d’eux et les coups de feu commencèrent! Je ne sus pas où j’avais trouvé la force de tirer! Pistolets, fusils,mitraillettes! PAN!!!!!!!!!!!!!! PAN!!!!!!!!!!!!!!!!! Le bruit était assourdissant! PAN!!!!!!!!!!!!!!!! PAN!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Une dizaine de zombie explosèrent sous les tirs et des bouts d’hémoglobine giclèrent en tout sens! PAN!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! PAN!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Certains furent décapités, d’autres perdirent des bras ou s’écroulèrent tout simplement! PAN!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Je n’avais jamais vu autant de sang! C’était horrible! Il restait encore une vingtaine de zombies et nous continuions à tirer! PAN!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! PAN!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Les balles 9mm ne semblaient pas avoir d’effet sur eux! PAN!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Celles de fusil à pompe les blessaient gravement mais certains revenaient à la charge! PAN!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Les Desert Eagle semblaient faire du grabuge et aucune têtes ne leur résistèrent! PAN!!!!!!!!!!!!! PAN!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Le plus étonnant était de voir la résistance des zombies! PAN!!!!!!!! PAN!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Il en restait maintenant une dizaine et 3 d’entre eux réussirent à se jeter sur la femme et le vieil homme pendant que la plupart des hommes rechargeaient leurs armes, les malheureuses victimes furent déchiquetés, la femme hurla, un zombie lui avait mordu et arraché toute une joue! Le vieil homme lui, n’avait maintenant plus de gorge et il était sûrement mort! La femme continuait de crier!
-”Bordel de merde!” hurla David.
Il m’arracha le Remington des mains, s’approcha de la grille où était la femme et la visa, celle-ci trouva la force de lui faire un signe de tête et notre sergent tira! PAN!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! La femme mourut sur le coup! Click! PAN!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Click! PAN!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Les zombies explosèrent sous le feu du calibre 12! Les cinq zombies restant furent vite anéantis par les hommes qui avaient rechargés. Bientot,il n’y eu plus aucun coups de feu. Tout le monde était pétrifié par ce qu’il venait de se passer. Finalement,les sergents ordonnèrent qu’on fasse l’inventaire des munitions. David, lui, faisait son rapport pour le capitaine Irons. Les 6 fusils a pompe étaient vide mais nous avions assez de munitions pour les recharger, pareil pour les mitraillettes et il y avait encore un chargeur pour chaque Desert Eagle. Les bérettas n’avait quasiment pas été utilisés tout comme les arbalètes compte tenu de leur faibles puissances. Enfin,aucun lance-grenades n’avait été utilisés. Nous venions de gagner notre premier combat face aux zombies et notre objectif à tous était simple:survivre le plus longtemps possible!


Chapitre 4

Dans ce chapitre,nous suivons un autre homme et le récit est à la troisième personne.


Il était 22H25.Le sergent Neil Carlsen, qui était à la tête des 20 hommes qui se préparaient depuis ce matin pour aller en ville, fut convoqué lui et son équipe par le capitaine Irons dans la salle de réunion. Il entra en même temps que son meilleur ami. Ils prirent place côte à côte et arriva bientôt 22H30,l’heure ou devait commencer la réunion. Tous les hommes de Neil étaient là et Brian Irons se leva.
-”Messieurs! dit-il. Les deux groupes sous les ordres des sergents Douglas et David ont essuyés une attaque et nous en savons un peu plus sur ces zombies! Tout d’abord, ils sont extrêmement résistants aux balles!”
Tout le monde dans la salle parut très étonné. Le capitaine continua:
-”D’après le rapport du sergent David, seuls nos Remingtons et nos Desert Eagle ont un véritable effet sur eux, les mitraillettes sont rapides donc elles sont assez efficaces aussi.”
Il s’arrêta et reprit quelques secondes plus tard:
-”Deuxièmement, les zombies marchent très lentement mais ils peuvent accélérer subitement donc faites attention! Troisièmement, leur objectif est de... vous manger!”
Là encore tout le monde fut très étonné mais la plupart des hommes étaient au courant.
-”Enfin, continua le capitaine, vous les reconnaîtrez facilement, leur peau est en lambeau et ils ne sont pas très jolis à voir! Bien! Venons-en maintenant à votre mission!”
Tout le monde regarda le commissaire avec encore plus de concentration. Il dit:
-”Sergent Carlsen! (le sergent se leva) Vous devrez allez au centre ville, voir ce qu’il se passe là bas, faire le ménage s’il le faut, sauver d’éventuels survivants et me faire un rapport! Tel est votre mission!”
-”A vos ordres!”
-”Il est 22H30! Vous agirez à 1H00! Il fera nuit, ce qui nous donnera un avantage. Allez trouver Peter et distribuez les armes à vos gars! Il n’y a plus de Desert Eagle, ils prendront donc majoritairement des Remingtons et des mitraillettes! Vous prendrez 6 voitures! C’est plus qu’il n’en faut mais cela pourra vous servir pour vous protéger! Vous prendrez aussi un car! Pas de question?”
-”Non capitaine!”
-”Alors, au boulot! Rompez!”
Tout le monde sorti de la salle et se dirigea au sous sol vers l’entrepôt d’armes hormis un agent qui fut envoyé pour chercher Peter. Les armes restantes étaient: 6 Remingtons et une quinzaine de mitraillettes. Ils s’équipèrent en armes et en munitions. Celles-ci s’étaient bien réduites depuis le début de cette “guerre” mais il en restait encore un important stock. Au niveau des armes,il ne restait qu’une mitraillette à la fin de leur passage. Le sergent Neil, qui avait pris un fusil, remercia Peter qui regagna son poste et ils se dirigèrent ensuite vers le garage qui était juste à coté de l’entrepôt d’arme. Ils répétèrent quelques phases d’action pour se préparer à ce qui les attendaient.

27 septembre. 00H50. Les hommes du sergent Carlsen étaient près, répartis de la manière suivante: 2 hommes dans chaque voiture (sauf une comprenant 2 agent plus le sergent) qui étaient au nombre de 6, 9 hommes dans le car (ceux-ci étant un groupe d’intervention spécialisé habillé en noir avec cagoules) dont 1 était le chauffeur. Ils étaient donc 22 en tout.
Ils partirent en direction du centre ville (girophares allumés). Celui-ci était à environ 10 minutes du commissariat. Pendant le trajet, ils virent quelques civils pourchassés par des zombies mais ils ne s’arrêtèrent pas, leur mission visait le centre ville. Alors qu’ils avaient fait une bonne partie du chemin, Neil pris la radio et dit:
-”A toute les voitures! Tenez vous prêts! Nous arrivons bientôt!”
En effet, 2 minutes plus tard, ils tournèrent à droite sur l’avenue qui traversait le centre ville et ce qu’ils virent les effrayèrent! Devant eux se tenaient des dizaines de zombies plus horribles les uns que les autres! C’était logique! Pensa Neil! Énormément de gens se trouvaient dans le centre! Sans plus tarder, il prit la radio et cria:
-”Arrêtez-vous!”
Les voitures freinèrent brutalement et stoppèrent de façon à former un cercle : 3 voitures étaient en ligne face aux zombies et les 3 autres derrière, enfin, le car était au milieu.
-”GO!GO!GO!” hurla le sergent dans la radio.
Les voitures s’ouvrirent violemment et les policiers en sortirent, appuyant leurs armes sur les toits des voitures. Les portes du car s’ouvrirent juste après et les commandos en sortirent rapidement, rejoignant les policiers. Les zombies s’approchaient et ils n’étaient plus qu’à 10 mètres. Le sergent brandit son arme.
-”Feu! Feu! Feu!” cria-t-il.
Et tous les policiers suivirent sont ordre. BLAM!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! BLAM!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Fusils et mitraillettes éclatèrent les premiers zombies. BLAM!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Des mares de sang se formaient sur le sol. BLAM!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Neil tira sur un zombie et lui fit exploser la cervelle qui se répandit par terre. BLAM!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Plusieurs zombies étaient au sol mais d’autres arrivaient. BLAM!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Certains se relevaient et le sergent compris ce qu’avait voulu dire le capitaine par ”résistants aux balles”. BLAM!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Les coups de feu s’atténuèrent un peu, la plupart des hommes rechargeaient leurs armes.
-”On aura jamais assez de munitions pour tous les buter sergent!” cria un agent.
Un autre de ses hommes qui était un peu en retrait lui dit:
-”Sergent! Ils arrivent par derrière!”
Neil se retourna et vit effectivement une cinquantaine de zombie qui se dirigeait dans leur direction. Les coups de feu reprirent plus fortement. BLAM!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! BLAM!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
-”Que des hommes aillent à l’arrière!” ordonna le sergent Neil.
Et certains hommes suivirent ses ordres. Neil réalisa avec horreur qu’ils étaient encerclés!
BLAM!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! BLAM!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Tout le monde tirait mais les zombies semblaient gagner du terrain! BLAM!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Beaucoup se relevaient et les policiers perdaient leur temps à recharger leurs armes! BLAM!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Les plus proches zombies n’étaient plus qu’à 5 mètres des voitures! BLAM!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! BLAM!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
-”Ils sont trop nombreux, sergent!” cria un agent à Neil.
-”Continuez à tirer!” dit ce dernier.
Que pouvait-ils faire d’autre? BLAM!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Un nouveau rechargement eut lieu, c’étaient leurs dernières munitions! Un cri à la gauche de Neil attira l’attention de ce dernier. Un zombie qui avait rampé était en train de mordre la jambe d’un agent.
-”Merde! Enculé! Lâche-moi” dit celui-ci en vidant le chargeur de sa mitraillette sur son agresseur. PA!!!!!!!!!! PA!!!!!!!!!!!!! PA!!!!!!!!!!!!!!! PA!!!!!!!!!!!!!! PA!!!!!!!!!!!!!! PA!!!!!!!!!!!!! Click! Click! Click!
Les dernières balles firent exploser la tête du zombie qui le lâcha au moment où un autre se jeta sur le malheureux policier. Les ennemis réussissaient à passer entre les minces espaces de leur voitures! D’autre se jetaient carrément sur les capots de ces dernières pour retomber de l’autre côté. BLAM!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
-”AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHH!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!”
Neil se retourna, c’était le cri d’un agent qui se faisait manger par deux zombies! Ceux-ci avaient pénétrés dans leur cercle! BLAM!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! La plupart des policiers utilisaient leur béretta, n’ayant plus de munitions pour leur arme principale. Mais ces pistolets n’étaient pas efficaces face aux zombies! PAN!!!!!! PAN!!!!!!!!! Neil vit que plusieurs de ses hommes étaient à terre! PAN!!!!!!!!!! PAN!!!!!!!!!!!! Il n’avait lui-même plus de munitions pour le Remington et prit son Beretta! PAN!!!!!!!!! Deux zombies avançaient dans sa direction! Il en visa un et tira! PAN!!!!!!!! PAN!!!!!!!!! PAN!!!!!!!!!!! Le zombie ne semblait rien avoir et il continua à avancer! PAN!!!!!!!! PAN!!!!!!!!!!!! Son buste recula pendant un instant mais le monstre continua!
PAN!!!!!!!!! PAN!!!!!!!!!! PAN!!!!!!!!!!!!! Finalement, l’ennemi tomba! Mais l’autre zombie continuait d’avancer vers Neil qui était dos au camion! PAN!!!!!!!!!!!!! PAN!!!!!!!!!!!!!! Le zombie se jeta sur lui et le sergent l’évita en tombant sur le côté! L’ennemie se releva rapidement et se jeta de nouveau sur lui! PAN!!!!!!!!!! Mais ce n’était pas assez puissant! Le zombie était sur lui et lui mordit la gorge! Neil n’avait jamais autant souffert et son sang inonda ses poumons! Sa vue se brouillait, son ouïe baissait petit à petit et il entendait encore ses hommes au combat:
-”.............trop nombreux.............ici!.........vous!”
PAN!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
-”Dépêch.........Jack..........”
PAN!!!!!!!!!!!!!!!!!!
-”.................munitions?”
-”........................quelqu’un.............?”
-”..........................si!...........................sergent...........................”
-”............................................mort...........................................”
-”.......................n........................en.....................................”

Bientôt, le sergent Neil Carlsen n’entendit plus rien. Il était mort. 20 minutes plus tard,tous ses hommes l’étaient aussi. Il était alors 01H40.

Suite